Un gang de motards m’a mieux élevé que ne l’ont jamais fait mes quatre familles d’accueil
Le biker qui m’a élevé n’était pas mon père ; c’était un mécano couvert de cambouis qui m’a trouvé en train de dormir dans la benne à ordures de son atelier quand j’avais quatorze ans. On l’appelait Big Mike, un mètre quatre-vingt-douze, une barbe jusque sur la poitrine et les bras couverts de tatouages militaires … Read more